Lo primero: Queremos que se hagan
bien las cosas y evitar una precipitación innecesaria, como decíamos en nuestro
post. No hay urgencia, pero sí es
necesaria mucha mayor coordinación e información.
Y quizás la mejor opción no es un cambio a licencia pura digital. Nos
extraña este “lanzarse al todo digital”, sin un estudio de la situación, sin
concertación con los padres y sin ni siquiera tener previsiones mínimas…
¿confiando en la suerte?
¿Qué pedimos?
- El LFM debe mejorar la coherencia de su proyecto pedagógico: reparto papel / digital, soporte (tablet, portátil, etc.). Debe ir acompañado de una reflexión seria y profunda sobre el papel de los medios digitales en la enseñanza y el aprendizaje
- El LFM debe jugar un papel central en la negociación con los editores de forma directa y en la determinación del modelo económico de costes mínimos
- Más transparencia por parte del LFM e involucrar a las familias en el proyecto
Este inicio de curso ha empezado con mucha
incertidumbre sobre los manuales y mucha
descoordinación. De ahí la consigna inicial de la ALI el pasado 11 de
septiembre de paralizar cautelarmente la compra de manuales hasta que el LFM
clarificase la situación. Algo que el LFM hizo la semana siguiente (con algún
mensaje contradictorio, hemos de decir)
La consigna oficial de la dirección
es la adquisición solo de los manuales publicados en las listas en julio
(digitales en su mayoría) y espera para el resto. Y por supuesto ningún desembolso en manuales obsoletos.
¿Por qué? Se trata de evitar gastos innecesarios y de realizar una
valoración de las opciones. Los profesores están evaluando diversos libros y
darán respuestas sobre los mismos en “Toussaint”. Y, en todo caso, ¡cuentan con
medios para no requerirlos de forma inmediata!
Sin embargo… algunos profesores han pedido licencias digitales de algún
manual más (ej. matemáticas) y otros están solicitando la impresión en papel de
páginas de los libros digitales, una total incongruencia con la actual política
del LFM de 3ED.
¿Qué nos preocupa?
·
Que el LFM deje en manos de terceros la negociación del
precio de las licencias, porque un intermediario adicional encarece
forzosamente el coste para las familias. La
gestión global de licencias, para todos los alumnos, por el LFM es lo deseable,
como hacen otros establecimientos.
·
Que pueda ser mal
llevada una transición digital, máxime cuando se aborda de forma masiva:
o
El éxito de la transición digital depende de lo que las familias puedan implementar en casa y
de una adaptación pedagógica. Hasta
ahora no se ha consultado a las asociaciones de padres y madres de alumnos. ¿Qué
equipamiento está disponible en casa? ¿Cómo gestionar un uso orientado al
aprendizaje? ¿Cómo utilizar esta oportunidad para mejorar los métodos de enseñanza?
o
Nos
preguntamos: ¿Tiene sentido el cambio a puro digital? Hemos visto que la
diferencia de precios entre papel+digital y digital es casi despreciable en los
libros españoles. Algunos profesores piden impresión de páginas para facilitar
el estudio de ciertas materias. Determinados libros se utilizan varios cursos,
cuando las licencias son válidas solo uno. Estos casos nos generan dudas sobre
una aproximación puramente digital.
Contamos desde la ALI con poder participar en las decisiones futuras a este
respecto antes de que se tomen y siempre informar a las familias.
¿Cómo
contactarnos?
Avant
tout: Comme nous le disions sur notre
blog,
nous voulons que les choses soient bien
faites et éviter une précipitation inutile. Il n'y a pas d'urgence, mais il est nécessaire beaucoup plus de
coordination et d'information.
Peut-être que le tout numérique n’est pas la meilleure option. Nous sommes
surpris de ce saut “dans le tout numérique“ sans une étude préalable, sans concertation
avec les parents et sans même établir des prévisions minimales ... Confie-t-on tout
à la chance?
Qu’est-ce que
nous demandons ?
1. Le LFM devrait améliorer la cohérence de son
projet éducatif: répartition papier / numérique, support (tablette, ordinateur
portable, etc.). Il doit être
accompagné d'une réflexion sérieuse et profonde sur le rôle du numérique dans
l'enseignement et l'apprentissage
- Le LFM doit jouer un rôle central dans la négociation avec les éditeurs et dans la détermination du modèle économique de coûts minimaux
- Plus de transparence du LFM, ainsi qu’impliquer les familles dans le projet
Cette
rentrée a commencé avec beaucoup
d'incertitude concernant les manuels et un manque de coordination. En
conséquence, le 11 Septembre l’ALI a suggéré, par précaution, de paralyser
l’achat de manuels, dans l’attente d’une clarification par le LFM, ce que le
LFM a fait la semaine suivante (avec quelques messages contradictoires, il est
vrai).
La consigne de la direction est de n’acquérir
que les manuels scolaires cités dans la liste publiée en Juillet (manuels
numériques principalement) et attendre pour le reste. Et bien sûr, aucun achat
de manuels d’années précédentes.
Pourquoi ? Ceci permet d'éviter des coûts inutiles et de faire en même
temps une évaluation des options. Les enseignants évaluent en ce moment
plusieurs livres et ils donneront leurs avis à Toussaint. Et, en tout cas, ils
ont les moyens pour ne pas avoir à les exiger immédiatement !
Néanmoins, certains enseignants ont déjà demandé des licences numériques additionnelles
(ex. mathématiques), alors que d'autres appellent à l'impression de pages de
livres numériques, ce qui est contradictoire avec la politique actuelle de LFM
3ED.
Qu’est-ce qui nous inquiète ?
·
Que le LFM laisse à des tiers la négociation des prix
des licences, car passer par un intermédiaire suppose toujours un surcoût. La gestion des licences numériques, pour
tous les élèves et par le LFM est ce qui serait souhaitable, comme font
d'autres établissements.
·
Un échec dans la transition
au numérique, en particulier lorsque celle-ci est proposée
massivement :
o
Le succès de la transition numérique dépend de ce que les familles peuvent mettre en œuvre à la
maison et d’une adaptation pédagogique. Jusqu'à présent, les associations
de parents d'élèves n’ont pas été consultées. Quel équipement est disponible à
la maison ? Comment gérer une utilisation dirigée à l’apprentissage ? Comment utiliser cette occasion pour
améliorer les méthodes d'enseignement?
o
Nous nous demandons
: Est-ce que le tout numérique est
logique? Nous avons vu que la différence de prix entre les manuels
numériques et papier + numérique est presque négligeable dans les livres
espagnols. Certains enseignants demandent l'impression de pages afin de
faciliter l'étude de quelques sujets. Certains livres sont utilisés plusieurs ans,
alors que les licences ne sont valables que pour un an. Ces points soulèvent
des questions qui nous font mettre en cause une approche purement numérique.
Nous espérons
à l’ALI de pouvoir participer aux futures décisions à ce sujet avant qu’elles
ne soient prises et de toujours informer les familles.